Description
Cahier thématique 1 : L’abeille noire, un bien commun – La connaître, l’élever, la protéger – Une abeille rustique et adaptée à son milieu
Connaissez-vous l’abeille noire, la seule abeille endémique d’Europe de l’Ouest, encore abondante à l’état sauvage au milieu du XXe siècle et aujourd’hui gravement menacée de disparition ?
À l’heure de la crise écologique, alors que le besoin de retrouver de la résilience et de refonder des pratiques durables s’impose, ce premier hors-série de la revue Abeilles en liberté propose une véritable apologie de l’abeille noire, cette abeille rustique en intelligence avec son milieu, particulièrement adaptée à une apiculture souhaitant s’inscrire dans la durée et désireuse de laisser un patrimoine aux générations futures, 80 pages, 18€90.
Cahier thématique 2 : Chemins vers une apiculture écologique – Un nouveau modèle
Préserver les capacités d’adaptation des abeilles mellifères
Si l’on veut donner un avenir à l’élevage des abeilles mellifères, certaines pratiques ne peuvent plus servir de modèle. Depuis quelques années, d’autres approches dessinent les contours d’un vaste projet soutenable qui se propose de prendre en compte l’intérêt des abeilles elles-mêmes, préserver leurs capacités d’adaptation ainsi que la biodiversité avec laquelle elles interagissent. Grâce aux témoignages de celles et ceux qui osent sortir d’un mode de pensée et de pratiques qui rapprochent l’apiculture d’une monoculture déconnectée du vivant, engageons-nous sur les chemins qui mènent vers une apiculture écologique…, 100 pages, 18€90.
Cahier thématique 3 : Observation sur la planche d’envol
Comprendre une colonie d’abeilles sans ouvrir la ruche
Il existe d’innombrables traités ou manuels d’apiculture, souvent très pointus et riches de conseils sur les indispensables manipulations destinées à « conduire » les colonies. Ce guide est différent puisque c’est l’un des rares à s’intéresser aux abeilles mellifères à la manière des naturalistes et non uniquement des apiculteurs. Dans cet ouvrage, nulle trace des dernières trouvailles pour faire produire aux colonies davantage de miel, pour optimiser leurs divisions, pour mieux les doper aux sirops de sucre ou autres astuces interventionniste ! Au contraire, il s’agit ici de considérer les abeilles comme des pollinisatrices sauvages et de redonner ses lettres de noblesse à l’observation afin d’imaginer ce qui se passe au sein de la colonie et tenter de mieux appréhender ses comportements, sans ouvrir la ruche.